But even though I'm hurt... ▬ OS

Auteur : Neko/Mikoya
Rating : G
Genre : Angst/Romance
Couple : HaeHyuk
Disclamer : Les personnages ne m’appartiennent pas, et mon texte est inspiré d'une vidéo ♥
Notes de l'auteur : On continue de ressortir les antiquités s'il vous plait ! x)

« Hey. »
« Hum ? »
« Je t'aime. »
« Moi aussi. »

Dans les bras l'un de l'autre, deux jeunes hommes s'embrassaient amoureusement. Nos doigts entrelacés resterons graver dans ma mémoire. Ils se séparèrent avec regret, mais un mince sourire se forma sur leurs lèvres respectives. Tes sourires me réchaufferons toujours le cœur dans les moments les plus difficiles. Dong Hae pouffa de rire gentiment avant d'ébouriffer les cheveux de son petit ami. Chaque gestes de toi resterons le summum de la tendresse. Et ton rire se reflétera dans mes yeux pour toujours. Leurs lèvres se touchèrent une nouvelle fois. Plus sensuellement. Le baiser s'intensifia. Je veux encore sentir tes lèvres contre les miennes. Docilement, Donghae prit son amant dans ses bras, serrant Hyukjae de toutes ses forces. Tes bras protecteurs serons toujours là pour me réconforter. Enfin, ils l'étaient. La musique de fond résonnait dans l'appartement silencieux. Leurs pas se firent légers et souples. Ensemble, la danse de leur amour débuta. Tournoyant avec habilité, les deux jeunes hommes se sourirent, amoureux. Un pas de travers. Un des deux jeunes homme marcha sur le pied de l'autre. Il pouffa à son tour. Mon rire te sera à tout jamais destiner. Qu'importe l'année. Le mois, le jour ou l'heure. Il ne sera entendu que par toi. Pour toi. Ils tombèrent sur le tapis, tout en amortissant leur chute. Ensemble, leur danse continua. Un dernier baiser laissé à la va vite. Pressé, Donghae quitta l'appartement rapidement. Il était retard. Et il pleuvait dehors. Malgré tout, son sourire refusait de le quitter. Hyukjae hantait ses pensées, les rendant confuses et nuageuses. Il monta sur sa moto et avant de démarrer fit un geste d'au revoir à son amant, qui était penché à la fenêtre. Un bruit assourdissant troubla le calme permanent de la rue. La moto démarra en trombe sous le regard tendre du jeune homme perché à sa fenêtre. Ensemble, leur danse chuta.


Ce jour là, je n'aurais jamais dû te laisser partir par ce temps. Tout ce qui est arrivé est de ma faute. Si cet accident t'es arrivé, c'est seulement ma faute. Par mon égoïsme je t'ai retenus. Tu es partis en retard. Tu roulais bien trop vite. Mes yeux se posent discrètement sur toi. Tu ne me vois pas. Tu ne me connais plus. Tu souris amoureusement à la jeune fille en face de toi. J'ai mal tu sais. Ces sourires avant m'étaient destiné. Ton rire ne résonnait que pour moi. Et tes lèvres n'embrassaient que les miennes. Mains dans la main vous partez. Vous passez devant moi. Nos regards se croisent, tu fronces les sourcils. Je te souris tristement. Possessive, la jeune femme t'emprisonne le bras. Tu te détournes de moi. Encore une fois. Tu lui souris pour la rassurer. Tu m'oublies. De nouveau je ne redeviens que poussière parmi étincelles. Je suis telle une marionnette, confectionner de tes mains si fortes. Et malgré toute mon envie de les briser, je n'y parvint pas. Je t'appartiendrais toujours. Même si toi tu ne m'appartiens déjà plus. Ça y est. Tu n'es plus visible pour mes pauvres yeux. J'ai toujours été un lâche. J'ai toujours rejeté la faute sur les autres quand quelque chose n'allait pas. Je suis un égoïste. Un être qui ne mérite ni de vivre, ni le bonheur que j'ai reçu de tes mains. Et j'en paie le prix maintenant. J'étais et je suis toujours plus ou moins croyant. Dieu, si tu m'entends. Si tu existes réellement, je t'en supplies, écoute moi. Je n'ai que quelques questions à te poser, ça ne sera pas long.  Mais... Pourquoi ? Es-tu si ignoble pour me faire vivre tout cela ? Ou est-ce en réalité l'œuvre de Satan ? Je ne peux pas croire que celui qui à créé l'Homme ait pu faire ça. Pourtant, c'est tout à fait possible. Je le sais. Car Dieu a crée l'homme à son image n'est-ce pas ? Donc tout s'explique. Toi aussi tu es un lâche. Un menteur et un égoïste. Parce qu'enfaite tu n'es rien de moins qu'une sorte d'humain. Tu as tout simplement essayé la perfection. Tu t'es essayé à la perfection. Et malheureusement, tu n'es pas parfait, toi l'homme qui créa le monde. Alors, comment l'homme aurait-il pu être la perfection, si son créateur ne l'était pas lui-même ? Je ne peux pas croire que l'amour qui nous liait est pu être détruit en si peu de temps. Je veux sentir ton odeur. Mais je sais que Dieu ou Satan ne me le permettrons plus.

Même si je suis blessé et que je pleure dans ma douleur... Pour ton bonheur, je vais vous laisser partir.

Désormais séparé, leur danse se finira.