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 [FICTION] Comme dans un conte de fée

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AuteurMessage
Emy

Emy


Messages : 9
Date d'inscription : 10/02/2014
Age : 26

[FICTION] Comme dans un conte de fée Empty
MessageSujet: [FICTION] Comme dans un conte de fée   [FICTION] Comme dans un conte de fée EmptyMar 11 Fév - 19:25

Auteur : Moi même ♪
Rating : G
Genre : Drame, Conte.
Résumé : Hum. Une reine qui va malheureusement tomber amoureuse ?
Disclamer : Le texte, les personnages et leurs malheurs sont tous à moi
Notes de l'auteur : Bon ... Comment dire que cette histoire est la conséquence de mon esprit tordu & de ma passion pour les contes ? C'est censé être une OS ou une fiction mutante, j'en sais absolument rien, mais elle est longue & non terminée, mais j'avais envie de la faire lire à des gens, donc vous serez mes testeurs mes ami(e)s ♥




Comme dans un conte de fée ♪




Cette histoire commence comme un conte, mais ne vous y prêtez pas : cette histoire n’est pas aussi belle qu’il n’y parait, c’est juste l’histoire de personnes qui ne savaient pas comment exprimer l’Amour qu’ils ressentaient.

Donc … Il était une fois, l’histoire d’une reine d’un pays lointain, qui répondait au doux prénom d’Angéline. Cette reine était très belle, puissante, riche et très appréciée de son peuple, ce qui faisait qu’elle était farouchement jalousée par de nombreuses personnes. Elle avait de nombreux rivaux, mais parvenait tous à les tenir à l’écart. Son seul problème était qu’elle était seule. Désespérément seule. Elle n’arrivait ni à faire confiance à une tierce personne, ni à confier à quelqu’un ses peines et ses doutes, ni à se lier d’amitié avec quiconque.  On l’appelait la Reine Sans Cœur, non pas parce qu’elle était cruelle, mais parce qu’elle ne ressentait rien, ou du moins, elle n’en montrait rien.  Et pourtant, elle avait un cœur. Un pauvre petit cœur fragile, bien caché et qu’elle avait elle-même fermée à double tour, pour que personne ne puisse lui faire du mal, pour se protéger des autres.
 
Angéline avait seulement trois personnes qui comptait dans sa vie : son cousin, le duc Maximilien ; son fidèle valet Augustin et sa pie de compagnie, Adélie.  Et elle pensait qu’ils étaient les seuls dont elle avait besoin pour vivre. Mais bien sûr, elle se trompait lourdement …

C’était un jour comme les autres : la Reine recevait les requêtes de son peuple, assise sur son grand trône, son fidèle valet à ses côtés,  et somptueusement vêtue, d’une magnifique robe en soie bleue, qui mettait parfaitement en valeur son teint de porcelaine, ses yeux turquoise et ses longs cheveux d’anges. Elle écoutait d’une oreille distraite, mais quand même un peu attentive, les remarques et demandes de quelques-uns des habitants de son pays : ici, une femme qui lui demandait de bénir son enfant ; là, deux enfants qui lui offraient un bouquet de marguerites ; ou bien encore là-bas,  un homme qui lui demandait d’envoyer quelques soldats patrouiller près de son logement car il craignait pour sa vie. Tout cela était si habituel, qu’elle ne remarqua pas vraiment l’homme qui venait de s’agenouiller devant quand ce fut à son tour d’exprimer sa requête.

C’était un homme vêtu comme un simple bourgeois de petit campagne, mais à la carrure d’un homme habitué au travail, ou du moins, à se défendre. Son visage, sans être particulièrement beau, était à sa façon inoubliable : il avait de grands yeux de la couleur des feuilles d’automne, un mélange de brun, d’or et de rouge ; son nez était un peu tordu, à cause d’une fracture mal remise en place et ses boucles brunes  étaient retenues par un ruban de satin rouge.  La Reine ne lui avait jeté qu’un petit regard, ne s’accordant pas la peine de mieux le contempler, croyant à tort, par ses vêtements, qu’il faisait partie des hommes venus se plaindre de la légère hausse des taxes pour les gens plus riches que la moyenne.

«  Votre Majesté … Je me nomme Aaron Balisard et je viens des terres de Malloi. »

Quand elle entendit cela, Angéline se fit plus attentive : les terres de Malloi étaient celles qu’administraient son cousin et elle se demandait bien pourquoi un de ses sujets était venu jusqu’ici.

« Vous savez, jusqu’à chez-nous, on vante votre beauté, mais les gens avaient tort : vous êtes bien plus belle que les mots ne peuvent décrire, vous brillez telle l’étoile du Berger dans une nuit où toutes les autres étoiles se sont obscurcies, comme pour vous laisser la place que vous méritez sans aucune contestation. »

Ce n’était pas le premier, ni le dernier des compliments que l’on faisait à la Reine pour sa beauté, mais elle l’apprécia plus que les autres, sans doute car l’homme qui l’avait formulé avait l’air totalement sincère et inspiré, alors que tous les autres ne les faisait que par intérêt le plus souvent.

« Vous savez, je croyais au début que venir ici n’était qu’une erreur, mais finalement, Maximilien avait raison : quand on vous aperçoit, on oublie tout de suite tout ce qu’il y a de négatif dans notre vie. »

Là, la gentillesse qu’Angéline commençait à éprouver pour cet inconnu disparue et elle le coupa dans son discours, d’une voix tranchante et assurée.

« Relevez-vous jeune homme, je ne vous ferais pas la grâce de vous laisser toucher le sol de mon château plus longtemps que nécessaire. »

Aaron s’exécuta, un peu surpris par le ton de sa Majesté et croisa son regard. Ses beaux yeux habituellement si clairs, s’étaient chargés de colère et semblaient être devenu plus foncés.

« Voilà le message que vous pourrez porter à mon cousin : je l’apprécie énormément, peut-être plus que n’importe qui en ce bas-monde, mais cela ne lui donne pas le droit et encore moins l’obligation de jouer les entremetteurs pour moi. Je n’ai besoin de personne et je n’ai absolument besoin d’aucune aide dans ma vie personnelle. Mr Balisard, ravie de vous avoir rencontré, mais vous allez devoir nous quitter. »

Sa voix s’était faite glaciale et elle s’était levée de son trône, sa hauteur lui donnant un avantage très signifiant par rapport à son adversaire.

« Quel que soit la façon qu’on vous nomme réellement, votre soi-disant raison de venir ici ou même votre statut auprès de mon cousin, je vous renvoie à lui, sans aucun remords ou hésitation. Partez. Tout de suite. Sans jamais penser à pouvoir un jour remettre les pieds ici. Je n’admettrais jamais un gigolo dans mon palais, et surtout si ce même gigolo est censé être à mon service. »




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